Création
le 13 janvier 1992
au Ballet Théâtre de Genève.
Entrée au répertoire
le 27 mai 2000
La valse de Strauss est sensuelle, délirante. Elle charrie dans ses tourbillons une collection de fantasmes. L'humour et l'ironie s'y inscrivent en filigrane. Le propos d'Ohad Naharin n'est pas d'illustrer la musique, mais d'intervenir dans l'étonnante précision de cette mécanique, d'entrer dans le mouvement par friction.