Création
le 25 avril 1940
à l'Opéra national de Paris
Entrée au répertoire
le 25 mars 1992
Distribution de la première à Paris; Solange Schwartz (la Danseuse) et Serge Lifar (la Statue). Entré au répertoire de l'École de Danse le 25 mars 1992.
Dans la galerie des antiquités, au Musée du Louvre, un gardien fait sa ronde de nuit. Il passe, puis s'éloigne. Soudain, une statue - un éphèbe grec - s'anime. Puis, arrivent les petites danseuses de Degas, descendues de leurs toiles. La plus audacieuse d'entre elles commence un duo chorégraphique avec l'éphèbe, chacun dans son style. A lui, la Pyrrhique à l'antique. A elle, le cake-walk et le can-can. Les ballerines s'amusent à prendre des poses et à parodier la danse classique. Mais, la fête est interrompue par le pas du gardien qui revient.
Tout le monde retourne à sa place. On réintègre son cadre. On remonte sur son socle. Le gardien passe. Rien à signaler.
La chorégraphie de Lifar mêle les exigences du style académique, hérissé de difficultés techniques, aux figures acrobatiques du cabaret et du music-hall.
Dans la galerie des antiquités, au Musée du Louvre, un gardien fait sa ronde de nuit. Il passe, puis s'éloigne. Soudain, une statue - un éphèbe grec - s'anime. Puis, arrivent les petites danseuses de Degas, descendues de leurs toiles. La plus audacieuse d'entre elles commence un duo chorégraphique avec l'éphèbe, chacun dans son style. A lui, la Pyrrhique à l'antique. A elle, le cake-walk et le can-can. Les ballerines s'amusent à prendre des poses et à parodier la danse classique. Mais, la fête est interrompue par le pas du gardien qui revient.
Tout le monde retourne à sa place. On réintègre son cadre. On remonte sur son socle. Le gardien passe. Rien à signaler.
La chorégraphie de Lifar mêle les exigences du style académique, hérissé de difficultés techniques, aux figures acrobatiques du cabaret et du music-hall.